En direct des e-magiciens, les Rencontres Européennes de la Jeune Création Numérique, ou le travail bat son plein!!!
Cette année je participe au Battle'R en tant que graphiste avec un développeur Flash des Gobelins.
Le but est de créer une animation interactive en 3 jours et 3 nuits.
Placés tout le long d'un couloir, nous sommes 13 équipes à s'affronter sur un thème imposer : la Copropriété. Le fichier source est une façade d'immeuble avec 13 fenêtres, chaque équipe a sa fenêtre et doit parasiter les autres.
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mercredi 25 novembre 2009
dimanche 22 novembre 2009
CLEMENS BEHR VS KURT SCHWITTERS
Kurt Schwitters, né le 20 juin 1887 à Hanovre en Allemagne était un peintre et poète allemand. Il a incarné l'esprit individualiste et anarchiste du mouvement Dada, dont il fut l'un des principaux animateurs de Hanovre. En parallèle à Dada, il a créé un mouvement qu'il a appelé « Merz ».
De 1920 à 1923, dans sa maison de Hanovre, Schwitters entreprend de construire une vaste structure faites de volumes blancs en plâtre aux plans imbriqués les uns dans les autres, et traversé par des tiges et des poutrelles de section carrée, la Schwitters-Säule (colonne Schwitters), dans laquelle s'encastrent, dans des cavités, ses œuvres et celles de ses amis. La construction envahit peu à peu toutes les pièces et même tous les étages de la maison et l'artiste lui donne le nom de Merzbau (construction Merz).
Détruite lors des bombardements d'Hanovre en 1943, cette œuvre unique a été reconstruite en 1990 au Sprengel Museum d'Hanovre[3] puis, en 1993, dans une version réduite, par Peter Bissegger à la demande de Harald Szeemann à l'occasion de la Biennale de Lyon.
Jeune et anti-conformiste, Clemens Behr est un artiste allemand exprimant son art
au travers d’installations surprenantes, habitées par l’idée d’occuper l’espace, en luttant naïvement contre la perspective. Surgis de son imaginaire influencé par l’origami, ses modules faits de carton et papier envahissent les espaces urbains, parkings et autres forêts pour en faire des champs d’expérimentation visuelle inédits. Premier invité du Seize, Clemens Behr incarne par son usage d’un matériau omniprésent dans nos vies, une vision actuelle d’un art contemporain, profondément ancré dans le quotidien.
De 1920 à 1923, dans sa maison de Hanovre, Schwitters entreprend de construire une vaste structure faites de volumes blancs en plâtre aux plans imbriqués les uns dans les autres, et traversé par des tiges et des poutrelles de section carrée, la Schwitters-Säule (colonne Schwitters), dans laquelle s'encastrent, dans des cavités, ses œuvres et celles de ses amis. La construction envahit peu à peu toutes les pièces et même tous les étages de la maison et l'artiste lui donne le nom de Merzbau (construction Merz).
Détruite lors des bombardements d'Hanovre en 1943, cette œuvre unique a été reconstruite en 1990 au Sprengel Museum d'Hanovre[3] puis, en 1993, dans une version réduite, par Peter Bissegger à la demande de Harald Szeemann à l'occasion de la Biennale de Lyon.
Jeune et anti-conformiste, Clemens Behr est un artiste allemand exprimant son art
au travers d’installations surprenantes, habitées par l’idée d’occuper l’espace, en luttant naïvement contre la perspective. Surgis de son imaginaire influencé par l’origami, ses modules faits de carton et papier envahissent les espaces urbains, parkings et autres forêts pour en faire des champs d’expérimentation visuelle inédits. Premier invité du Seize, Clemens Behr incarne par son usage d’un matériau omniprésent dans nos vies, une vision actuelle d’un art contemporain, profondément ancré dans le quotidien.
ENTRETIEN DU 20.11.09
AVEC SOPHIE MONVILLE ET JOËLLE LABICHE
Les réflexions faites sur mes recherches sur La Distance de la Lune d'Italo Calvino sont celles auxquelles je m'attendais. C'est ce dans quoi je n'ai pas envie de tomber... l'illustration du texte, qui en soi n'a pas grand intérêt.
Ce sont mes recherches et mes références autour du pop-up qui doivent construire ma fiction.
Ici, pour le texte d'Italo Calvino, je dois illustrer plutôt mon ressenti sur ce texte et me laisser ainsi couler vers l'imaginaire que ça ouvre.
Chaque expérimentation donnera ainsi lieu à une édition.
Les réflexions faites sur mes recherches sur La Distance de la Lune d'Italo Calvino sont celles auxquelles je m'attendais. C'est ce dans quoi je n'ai pas envie de tomber... l'illustration du texte, qui en soi n'a pas grand intérêt.
Ce sont mes recherches et mes références autour du pop-up qui doivent construire ma fiction.
Ici, pour le texte d'Italo Calvino, je dois illustrer plutôt mon ressenti sur ce texte et me laisser ainsi couler vers l'imaginaire que ça ouvre.
Chaque expérimentation donnera ainsi lieu à une édition.
jeudi 19 novembre 2009
POP-UP SUPERSIZE
Pour promouvoir un nouveau spray désodorisant Ambi Pur "Pink Flowers", l'agence Jung von Matt AG à Stuttgart a installé un pop up géant derrière des portes de toilettes publics dans quatre différentes villes.
FALTJAHR 2010
L'artiste allemand Johann Volkmer a réalisé un calendrier assez particulier avec l'utilisation de la technique du pop-up book.
Un travail en trois dimensions, sous la forme d'un calendrier-livre avec des créations pour chaque mois. Un travail à la fois léger et très poétique.
Un travail en trois dimensions, sous la forme d'un calendrier-livre avec des créations pour chaque mois. Un travail à la fois léger et très poétique.
L'ORIGAMI VU PAR CLEMENS BEHR
Illustrateur et artiste urbain inspiré par l'art de l'origami, l'allemand Clemens Behr réalise des installations en papier et en carton. Dans la rue, dans une rame de métro ou dans une galerie, ses installations surprennent par leur construction, qui créent un nouvel espace dans l'espace.
mercredi 18 novembre 2009
mardi 17 novembre 2009
ITALO CALVINO
Après avoir lu la première nouvelle du livre Cosmicomics d'Italo Calvino,
" la Distance de la Lune ", J'ai eu un véritable coup de coeur.
La poésie et la rêverie de ce texte correspondent à l'envie graphique et tridimensionnelle que je veux dévelloper.
Créer des univers visuels et sensoriels où le lecteur se sentirai emporté dans un autre monde, à la fois magique et utopique.
" la Distance de la Lune ", est un récit à la fois absurde et poétique. Italo Calvino plonge le spectateur dans un univers atemporel, à une époque incertaine ou la Terre et la Lune étaient tellement proches que depuis la Terre on se rendait sur la Lune pour ramasser "le lait de Lune".
Je pense donc prendre ce livre comme matière première de la fiction au sein de l'Arc espace du livre, édition et création et l'illustrer à travers mes patrons et mes pop up...
lundi 16 novembre 2009
ADRESSE
Pour les passionnés des livres d'artistes et livres-objets :
Librairie Nicaise
145 boulevard Saint Germain
75006 Paris
Métro: St Germain-des-Prés
dimanche 15 novembre 2009
EXPOSITION (14.11.09)
L'exposition Né dans la rue - Graffiti, rend hommage aux pionniers new-yorkais de ce mouvement tels que Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, P.H.A.S.E. 2, Part 1 et Seen, qui ont fait entrer le mouvement dans l’histoire contemporaine de l’art.Un ensemble de photographies de Jon Naar, Henry Chalfant et Martha Cooper, de films fondateurs tels Style Wars (1982, Tony Silver et Henry Chalfant) et Stations of the Elevated (1979, Manfred Kirchheimer) ou encore de dessins, illustrent l’envol du graffiti à New York, de sa naissance, au début des années 1970, à son entrée dans le marché de l’art et l’univers des médias au cours des années 1980.
Plusieurs oeuvres symbolisant la richesse du mouvement seront aussi créées spécialement pour l’événement par une sélection d’artistes venus du monde entier : Basco Vazko (Santiago du Chili), Cripta (São Paulo), JonOne (Paris), Olivier Kosta-Théfaine (Paris), Barry McGee (San Francisco), Nug (Stockholm), Boris Tellegen / Delta (Amsterdam), Vitché (SãoPaulo), Gérard Zlotykamien (Paris) et Evan Roth (Américain vivant à Honk-Kong).
➜ Ce sont les oeuvres de ce dernier artiste qui m'ont le plus interpellée :
Le travail d’Evan Roth est centré sur la recherche dans les domaines de l’interactivité, des technologies open source (logiciels libres) et de la culture populaire. Jouant sur la notion de propriété intellectuelle, il aime passer son temps libre à contourner les lois relatives au copyright et au vandalisme. Il mène entre autres depuis quelques années différents travaux de recherche sur le graffiti, dont les projets Graffiti Taxonomy et Graffiti Analysis, qui ont débuté dans le cadre de sa thèse lorsqu’il était étudiant à Parsons – The New School for Design, à New York. En 2005, il a cofondé le Graffiti Research Lab.
Graffiti Taxonomy est une étude qui consiste à recenser des signatures en un lieu donné et à en isoler certains caractères. Les caractères présentés sur la façade de la Fondation Cartier ont été photographiés par l’artiste entre le 24 et le 28 avril 2009 à Paris. Graffiti Taxonomy: Paris (2009) vise à montrer la diversité du graffiti parisien.
Graffiti Analysis cherche à mettre en évidence les mouvements du graffeur. Ses gestes sont enregistrés au format numérique via un système de motion capture (captation de mouvement), pour ensuite produire des animations qui sont projetées sur la surface des immeubles, offrant ainsi une représentation numérique de la manière de faire un tag.
Né dans la rue –Graffiti
Du 7 juillet au 29 novembre 2009
Fondation Cartier pour l’art contemporain
261, boulevard Raspail 75014 Paris
jeudi 12 novembre 2009
CITATION DU JOUR
Les confettis : - Oui... c'est immonde... mais,qu'est-ce que vous voulez ?
Ca fait aller le commerce du papier !
Ca fait aller le commerce du papier !
ALPHONSE ALLAIS
ENTRETIEN DU 06.11.09
AVEC ERIK NUSSBICKER
À partir de cette recherche graphique faite avec différents types de patrons, j'ai soulevé une piste de recherches intéressantes.
Au départ j'étais parti sur l'idée de mise en page de mes patrons, pour qu'ils puissent être exploités en volume les uns par rapport aux autres au sein d'une même page.
Mais ce qu'il s'est avérer alors intéressant c'est le fait de superposer certains patrons. La page 3D devient donc un espace de choix, ou l'on privilégie certains patrons pour en sacrifier d'autres.
Je pose alors la question entre le patron (numérique) modifiable qui permet une sérialisation et une reproduction à l'infini ; et le volume (papier) définitif qui permet une expérience tactile et spatiale, et qui ne peut être modifié que par la reconstruction du volume.
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À partir de cette recherche graphique faite avec différents types de patrons, j'ai soulevé une piste de recherches intéressantes.Au départ j'étais parti sur l'idée de mise en page de mes patrons, pour qu'ils puissent être exploités en volume les uns par rapport aux autres au sein d'une même page.
Mais ce qu'il s'est avérer alors intéressant c'est le fait de superposer certains patrons. La page 3D devient donc un espace de choix, ou l'on privilégie certains patrons pour en sacrifier d'autres.
Je pose alors la question entre le patron (numérique) modifiable qui permet une sérialisation et une reproduction à l'infini ; et le volume (papier) définitif qui permet une expérience tactile et spatiale, et qui ne peut être modifié que par la reconstruction du volume.
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mardi 10 novembre 2009
MAQUETTE #2
EXPÉRIMENTATION POP-UP
Recherches autour de la confrontation:
Recherches autour de la confrontation:
- entre la page 2D et la page 3D
- entre le graphisme et le volume
- entre le patron et son objet
lundi 9 novembre 2009
IMAGE DU JOUR
Post-it origamiL’arme ultime pour l’élève ou l’employé de bureau envahi par l’ennui.
Avec ces post-it origami, plus besoin d’emmener son livre d’origami et ses feuilles, le mode d’emploi est imprimé sur la feuille qui plus est… fait post-it.
La petite taille du post-it rend le pliage plus acrobatique et minutieux!
vendredi 6 novembre 2009
RECHERCHES GRAPHIQUES
EXPÉRIMENTATIONS GRAPHIQUES AUTOUR DU PATRON ET DE LA FICTIONL'exercice s'est avéré plus difficile que je le pensais. Ayant du mal à confronter le côté abstrait de ces formes et la construction d'une fiction, je suis parti sur une piste narrative : dans le sens où la forme géométrique devient figurative et fait appel à un "élément" reconnaissable de tous.
Mais je pense qu'il est important pour moi de passer par ce processus, et pouvoir ainsi par la suite me libérez graphiquement de ce côté peut-être trop illustratif.
Les différentes formes géométriques (photos) sont le résultat d'une distorsion d'un patron (Pepakura Designer). J'obtiens alors de nouveaux modules issus du même patron, et par conséquent encore plus de possibilités.
mercredi 4 novembre 2009
IMAGE DU JOUR
Clara Lindsten, designer, a proposé en 2006 une idée innovante pour le secteur des… étiquettes de bouteilles de bière. " Se basant sur le fait qu’il est courant, lorsqu’on est nerveux ou qu’on s’ennuie, de détacher les étiquettes, l’artiste a cherché à rendre cette situation constructive… en vous permettant de faire des fleurs en origami."
mardi 3 novembre 2009
RÉFLEXION DU JOUR
Dans mes volumes, le patron ne génère pas la forme 3D mais est généré par celle-ci.
lundi 2 novembre 2009
ENTRETIEN DU 30.10.09
AVEC SOPHIE MONVILLE ET JOËLLE LABICHE
En parlant de mon projet d'édition en deux volumes, nous avons soulevé plusieurs points intéressants ; notamment laisser de côté la mise en volume 3D des patrons, pour exploiter au maximum ceux-ci autant graphiquement que spacialement au sein de la page 2D.
Ainsi à partir des formes géométriques créées je pourrais aborder de plus près la fiction.
Livre conseillé : Cosmicomics de Italo Calvino
En parlant de mon projet d'édition en deux volumes, nous avons soulevé plusieurs points intéressants ; notamment laisser de côté la mise en volume 3D des patrons, pour exploiter au maximum ceux-ci autant graphiquement que spacialement au sein de la page 2D.
Ainsi à partir des formes géométriques créées je pourrais aborder de plus près la fiction.
Livre conseillé : Cosmicomics de Italo Calvino
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